«Quel povero Lautréamont fin troppo dimenticato
Ricordando “I canti di Maldoror”, scordati perché, forse, troppo violenti. Ma centocinquant'anni dopo restano ancora magnifici.»
Il résume bien dans son bref article quelques points saillants de l'oeuvre et de son histoire. Et rassurons-le: les journées d'atelier de Tarbes viennent de prouver à quel point Ducasse et Lautréamont restent présents et leur virulence intacte.