On sait que les Cahiers d'Occitanie entretiennent, grâce à Jean-Pierre Lassalle, un culte toujours vivace pour Isidore. Le No 52 de Juin 2013 poursuit cette oeuvre d'érudition avec de nombreuses références dispersées mais aussi avec trois articles plus substantiels: «L'Icosaèdre à l'honneur», Lautréamont «Lecteur des psaumes de David», «Toujours les Cornets». Dans ce dernier article, J.-P. Lassalle réitère sa lecture papetière de la formule «les cornets dont se compose l'oeuvre de Proudhon». Nous avons déjà fait remarquer ailleurs qu'il s'agit plutôt à notre avis d'une coquille (elles ne sont pas rares dans Maldoror), «cornets» venant pour «carnets». Éditée par Lacroix, l'oeuvre de Proudhon était en effet livrée en manuscrit dans des carnets. Détail qui n'a sans doute pas échappé à Ducasse, en affaires avec Lacroix, l'homme de la Librairie Internationale, toute voisine. Cf. ce qu'en dit l'éditeur moderne de cette oeuvre: «Les Carnets (1843-1864) devaient être publiés en 1865 par Lacroix (le premier éditeur des œuvres complètes et de la correspondance)».
Tout sur Isidore Ducasse et Lautréamont.
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10/20/2013
10/06/2013
On est entré...
Françoise et Joël, les sympathiques animateurs du BAR MALDOROR, 10, rue du Grand Prieuré, 75011 PARIS, nous signalent:
«Passant dans le quartier de la rue du Faubourg Montmartre, nous sommes rentrés dans la cour de chez Chartier, et la plaque dont la photo est jointe, a été enlevée.»
Faut-il ajouter que ce n'est pas la première fois?
«Passant dans le quartier de la rue du Faubourg Montmartre, nous sommes rentrés dans la cour de chez Chartier, et la plaque dont la photo est jointe, a été enlevée.»
Faut-il ajouter que ce n'est pas la première fois?
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