«Lautréamont en Pléiade, le rendez-vous manqué»

«La Quinzaine littéraire a refusé de publier une critique virulente du récent volume de la Pléiade consacré à Lautréamont, signée Jean-Jacques Lefrère, pourtant collaborateur régulier de cette dernière. Critiquer la prestigieuse collection de Gallimard serait-il tabou? LEXPRESS.fr a décidé de publier l'intégralité de son texte vif et érudit, afin que chacun puisse se faire une idée. Polémique en vue...»

Lautréamont, Supervielle, Laforgue: retour à Montevideo

Les poètes franco-uruguayens seront célébrés cet automne au cours d'un colloque international en cours de préparation:

PROGRAMME PROVISOIRE

Lundi 18 octobre : Inscription des intervenants, discours protocolaires, cocktail de bienvenue.
Mardi 19 : Journée consacrée à Lautréamont
Mercredi 20 : Le matin, Supervielle
L’après-midi : visite guidée dans la ville en insistant sur les lieux liés à la vie des poètes.
Jeudi 21 : Journée consacrée à Laforgue
Vendredi 22 : Vision d’ensemble sur les 3 poètes ainsi que sur les relations culturelles franco-uruguayennes. Dîner d’adieu.

Pour tout renseignement:
Jacques Duprey
jduprey@adinet.com.uy

Histoires Littéraires

Le 40ème numéro d'Histoires Littéraires sort en librairie. Avec entre autres un gros dossier Pinget (accompagné d'inédits) et une entrevue avec Nelly Kaplan (accompagnée de photos et d'inédits), plus les rubriques habituelles (Chronique des ventes, comptes-rendus, etc.).

Sollers sur Lautréamont au colloque d'Orsay

À l'occasion du lancement de la nouvelle Pléiade. Musée d'Orsay, 15 octobre 2009.
De nombreux autres textes et références à la galaxie sollersienne, en rapport ou non avec Lautréamont, sur le site entretenu par A. Gauvin, très actif créateur d'un site foisonnant, y compris d'un «dictionnaire sollersien» qui mâche le travail pour les futurs exégètes.

Le Prix Lautréamont

Décerné à Armand Lanoux le 1er Avril 1964. L'«événement» avait été annoncé par Francis Blanche dans le «Journal télérévisé» du même jour...

«Des Prix»

Les Actes du 12ème Colloque des Invalides sont disponibles en librairie.

Aux Éditions du Lérot
En vente dans toutes les bonnes librairies

Sommaire

Avant-propos

Daniel Zinszner : Hors de prix
Olivier Bessard-Banquy : « À bas le Goncourt des coquins »
Benoît Virot : Qui a peur du noir ?
Discussion des trois communications précédentes

Jean-Louis Debauve : Les Prix littéraires
Jean-Paul Morel et Patrick Ramseyer : Le Prix sans nom
Vincent Kaufmann : ABC ou le prix de la recherche
Discussion des trois communications précédentes

Sima Godfrey : Les Ratés du prix de Rome
Olivier Barrot : Louise Brooks ou « Prix de beauté »
Discussion des communications précédentesSilvia Disegni : Vallès et l’honneur des prix Héloïse Neefs : La Distribution des prix
Thomas Loué : Petite histoire du scandale de l’attribution du Prix biennal de l’Institut
Julien Schuh : Jarry lauréat
Discussion des trois communications précédentes

Isabelle Moindrot : Rosière, et prix de vertu
Anthony Glinoer : Prix de Flore, prix de groupe
Clothilde Roullier : Pinget mis au prix ou un roman « à l’eau de rose »
Discussion des trois communications précédentes

Clément Carbonnier : De la valeur et des prix
Paul Schneebeli : Le Prix de l’Arquebuse
Françoise Gaillard : Matthieu Laurette : un artiste hors de prix
Michel Bernard : Prix littéraires : quelques statistiques
Discussion des quatre communications précédentes

Jean-Pierre Bacot : 1923 : des prix à petit prix 
Alain Zalmanski : Prix à réclamer
Dominique Noguez : Petite contribution à une future science des prix
Christophe Bourseiller : D’un Goncourt l’autre

Les Cahiers Lautréamont en librairie

Quelques exemplaires des volumes suivants des Cahiers Lautréamont sont encore disponibles:


Maldoror hier et aujourd'hui
Les lecteurs de Lautréamont
La littérature Maldoror
Lautréamont : l'autre de la littérature
Lautréamont et Laforgue dans leur siècle
Lautréamont au Japon
Isidore Ducasse à Paris

LIBRAIRIE 1001 PAGES
72 rue Marx-Dormoy, 75018 Paris
Tel : 01 42 09 51 46
Fax: 01 42 05 20 76
1001p@nerim.net

«La Soeur de l'Ange»

«L’homme doit comprendre, pour Pascal, « qu’il est un monstre incompréhensible », pour Lautréamont, « qu’il est la Sœur de l’Ange ». Le premier dénonce un tel « sujet de contradictions », le second en fait « le sujet de la conciliation ». Sur tout sujet de son choix, mais symptomatique des bouleversements de notre temps, La Sœur de l’Ange entend laisser s’exprimer les contradictions, pour leur offrir la conciliation minimum d’une coexistence éditoriale, difficile ou impossible ailleurs. (…)
La Sœur de l’Ange questionne avec précision et ténacité l’à-quoi-bon des choses. Se demander si cela est bon, si cela vaut ou si cela existe, revient à interroger et inquiéter en profondeur la condition humaine. »Après avoir mis en question l’à-quoi-bon de l’art, de la nation, de la mort, de Dieu, de la résistance, La Sœur de l’ange se demande, dans son numéro 6 À QUOI BON LA LUNE ? Dans le n° 7, elle posera la question À QUOI BON LA CRISE ? Convoquant écrivains, poètes, philosophes, artistes, scientifiques, pour une approche interdisciplinaire et transversale des problématiques qu’elle propose, La Sœur de l’Ange reprend à son compte la passion cardinale des Encyclopédistes, « la papillonne », celle qui fait les yeux de la curiosité plus grands que le ventre du savoir.»