11/29/2020

Le Lautréamont de Ruperto Long publié en Italie

Ruperto Long
L’enigma di Lautréamont

Questo libro è il frutto di una ricerca, durata oltre cinque anni, condotta dall’Autore nei luoghi in cui ha vissuto Isidore Ducasse, meglio conosciuto come Conte di Lautréamont. Tarbes, Pau, Bordeaux, Parigi e molte ore di studio dei documenti nella Biblioteca Nazionale di Francia hanno composto gli elementi della vita del Conte che appaiono in questo libro. Long li ha situati storicamente e culturalmente, colmando le lacune con intuizioni e speculazioni e mostrandoci la vita appassionante ed enigmatica del conte di Lautréamont in tutta la sua vividezza.

Ruperto Long

(Rosario, 1952)
Scrittore uruguayano di grande successo internazionale, è autore del celebre best seller La bambina che guardava i treni partire (2017). Nel 2013 è stato nominato Cavaliere dell’Ordine delle Arti e delle Lettere dal governo francese. Nel 2015 ha ricevuto la Medaglia d’Onore Juan Zorrilla de San Martín per i suoi lavori su Lautréamont e Ferrer. I suoi romanzi sono tradotti in molte lingue.

11/26/2020

Le mystère Lautréamont


Dans La Croix Laurence Cossé traite du «Mystère Lautréamont», non sans céder à son tour au désir d'en rajouter. 

«Christiane Rancé nous raconte le mystère qui entoura la vie et la mort d’Isidore Ducasse, alias le comte de Lautréamont, dont l’œuvre, noire, fascine toujours.»

Rien ne permet d'affirmer que Ducasse serait «mort dans le plus complet anonymat et une totale solitude». Ne venait-il pas de dédier Poésies à ses «amis passés, présents, futurs»? Il en avait donc. Certains ont fait écho à ses oeuvres dans quelques comptes-rendus. Si l'on ignore qui a pu assister à la cérémonie, on sait qu'il eut droit à des obsèques à Notre-Dame-de-Lorette, sa paroisse, qu'il la fréquentât ou non. Impossible non plus de soutenir que nous ne savons rien de sa vie. C'est tout le contraire. Les chercheurs de l'AAPPFID ne cessent d'apporter de nouvelles connaissances qui enrichissent encore ce qui avait été magistralement décrit dans la biographie signée par Jean-Jacques Lefrère. Mais les mythes ont la vie dure et il est bien plus tentant de les répéter que de les déconstruire.

11/25/2020

150 ans après sa mort, Lautréamont toujours vivant.

Par Nidal Taibi


Le 24 novembre 2020 correspond au 150e anniversaire de la disparition du poète Isidore Ducasse, plus connu sous le nom d’emprunt de Lautréamont (1846-1870), auteur des célèbres "Chants de Maldoror".  A cette occasion, "
Marianne" s’est entretenu avec Kevin Saliou, directeur des érudits "Cahiers Lautréamont" (Classiques Garnier). Retour sur un auteur et une œuvre sulfureuse, provocatrice, complexe et énigmatique, qui n’a toujours pas livré tous ses secrets.

11/23/2020

L'Uruguay commémore Isidore Ducasse

Programme des commémorations franco-uruguayennes du cent-cinquantenaire

"L’AAPPFID est heureuse de vous présenter le programme des commémorations franco-uruguayennes du cent-cinquantenaire de la mort d’Isidore Ducasse. Ces manifestations ont été organisées en étroite collaboration avec l’Ambassade de France en Uruguay et son attaché culturel, Dario Arce. Cette page a pour but de récapituler ici l’ensemble des événements, qu’ils soient français ou uruguayens, organisés par nous ou par nos amis et partenaires."










Également au programme de TV-Ciudad:

Para agendar @C_Lautreamont el misterioso poeta montevideano
Este jueves a las 22:30h en @TVCIUDADuy https://twitter.com/C_Lautreamont/status/1330897461494378496

11/12/2020

Isidore Ducasse commémoré: une visioconférence

Inscrit à l’agenda des Célébrations nationales, un colloque international devait se tenir à la Bibliothèque Nationale pour commémorer le cent-cinquantième anniversaire de la mort d’Isidore Ducasse mais a dû être annulé. Une visioconférence Zoom va cependant marquer l’événement à la date prévue, le 24 novembre à partir de 19h.

C’est l’ organisateur principal de ce colloque, président de l’Association des Amis Passés, Présents, Futurs d’Isidore Ducasse (AAPPFID) et directeur des Cahiers Lautréamont (Éditions Classiques Garnier), Kevin Saliou, qui sera l’hôte de la rencontre que nous proposons. Le premier volume de son essai sur la réception de Lautréamont sera par ailleurs mis en vente avant la fin du mois aux Éditions Classiques Garnier.

L’acteur Jean Boissery, passionné de poésie et admirateur de l’œuvre provocatrice de Lautréamont, donnera quant à lui une lecture de ses passages préférés des Chants de Maldoror.

 

La rencontre est présentée par l’Association Le Clos des Bernardines en partenariat avec l’AAPPFID et la revue Histoires Littéraires. Toute personne intéressée pourra participer à l’événement en demandant les codes d’accès à la visioconférence à l’adresse : leclosdesbernardines@gmail.com.

11/06/2020

Renée Pan de Ducasse et le frère d’Isidore

C’est une révélation! Notre ami le ducassien montévidéen Hebert Benitez Pezzolano évoque pour la première fois les confidences reçues autrefois de Renée Pan de Ducasse, veuve d’Arquimede, lui-même fils d’Alfredo, né vers 1870, lequel n’aurait eu pour père nul autre que François, avec Eudosia Petit (1845-1928) pour mère. L’article que publie La Diaria Cultura se fonde, dit Hebert, sur des notes jamais utilisées jusqu’ici.

(Extrait de l’article:)

Ahora quiero volver y recordar otras cosas, reconocer la tentación biográfica (no biografista), contar brevemente algo de lo que la viuda de un descendiente me contó y me obsequió. Y sorprenderme porque de pronto advierto que escribo esto por primera vez, fuera de mis notas del aquel momento, cuando conocí a la señora Renée Pan de Ducasse. Ella, ya hace tiempo fallecida, era viuda de Arquímedes Ducasse, y de inmediato trazó la línea genealógica de su marido: Arquímedes, nacido en 1907, era hijo de Alfredo Ducasse, quien por su parte era hijo de François Ducasse, padre de Isidore, y de Eudosia Petit, de quien la señora Renée me proporcionó fecha de nacimiento y muerte: 1845-1928. Esto me asombró mucho. Yo no conocía estas “segundas nupcias” de François, ni que Isidore tuviera un medio hermano nacido alrededor de 1870, Alfredo, el año en que él, con 24 años, murió en París. Obviamente no se conocieron. Pero sí con Eudosia, que apenas tenía un año más que él. No está claro cuándo lo conoció, pero por coincidencias de tiempos y edades debió haber sido con poco margen de dudas hacia 1867, cuando Isidore regresó a Montevideo en el velero Harrick, que había zarpado desde el puerto de Burdeos, como bien documentó por primera vez François Caradec en el libro ya mencionado.