
Tout sur Isidore Ducasse et Lautréamont.
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9/24/2014
TNS / «Les Chants de Maldoror» de Lautréamont par Matthias Hejnar

Maldoror au Théâtre d'Or
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18 rue des Envierges Paris
9/20/2014
Une critique inconnue des Chants de Maldoror
À lire dans les Cahiers Lautréamont: un nouvel article de J.-J. Lefrère à propos d'une critique inconnue des Chants
de Maldoror dans Le Figaro en
1891:
« En page 5 du Figaro du 28 janvier 1891, dans la Revue bibliographique tenue par Philippe
Gille, entre le compte rendu d’une biographie du collectionneur Eugène Piot par
Edmond Bonnaffé, parue chez E. Charavay, et celui d’une comédie en quatre
actes, Les Étapes de Gutenberg, de
Louis Leriche, chez l’éditeur
Chavannac, on lit une critique des Chants
de Maldoror, réédités l’année précédente par Léon Genonceaux.»

Raoul Vaneigem
ISIDORE DUCASSE
E IL CONTE DI LAUTRÉAMONT
NELLE POESIE
30 pagine 9 x 18 cm
SFr. 5, - /Lit 4.000
disegni di Paolo Mazzuchelli
EDIZIONI L’"AFFRANCHI"
casella postale 53
Salorino (Svizzera)
Carte postale. Suisse© EDIZIONI L’"AFFRANCHI" - SALORINO
8/29/2014
Du plagiat au second degré
"...on lit dans un ouvrage de Bonald la maxime suivante :
« 9. Les grandes pensées viennent du cœur, dit Vauvenargues. Cette maxime est incomplète, et il aurait dû ajouter : les grandes et légitimes affectations viennent de la raison.[1] »
L’ouvrage, paru peu avant la publication des Poésies, a pu servir à Ducasse pour sa reprise. Si cette maxime est bien la source de Ducasse, il ne faut plus dire que Ducasse corrige Vauvenargues, mais que Ducasse corrige Bonald corrigeant Vauvenargues. Si Ducasse s’était inspiré de cette maxime de Bonald plutôt que de celle de Vauvenargues, cela signifie non pas uniquement qu’il veut innover en corrigeant les écrivains antérieurs, mais qu’il s’inscrit dans (ou se positionne en rapport avec) la tradition du commentaire apporté sur l’héritage intellectuel. « Rien n’est dit. L’on vient trop tôt depuis plus de sept mille ans qu’il y a des hommes. Sur ce qui concerne les mœurs, comme sur le reste, le moins bon est enlevé. Nous avons l’avantage de travailler après les anciens, les habiles d’entre les modernes. » écrit Ducasse (II, 154). Tout est dit. C’est cette esthétique d’un progrès intellectuel constant que ce poète défend."
8/28/2014
8/23/2014
Sircos et l’égoïsme

Norbert Gaulard a retrouvé un exemplaire de ces rarissimes Fragments et nous en permet aimablement la reproduction. On pourra y percevoir une assez grande proximité de thème et de ton avec le Ducasse de Poésies. Ce premier fragment fut-il suivi d'au moins un second? S'il existe, peut-être le retrouvera-t-on un jour.
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