1/28/2008

Ducasse, Dieu, Langhoff


Le spectacle de MATTHIAS LANGHOFF à la MC 93
DIEU COMME PATIENT - AINSI PARLAIT ISIDORE DUCASSE
Work in progress inspiré des Chants de Maldoror du Comte de Lautréamont
qui devait être présenté dans le cadre du Standard idéal du 16 au 19 février 2008
est annulé

1/27/2008

DIECI UNGHIE SECCHE INVECE DI CINQUE


Isidore Ducasse conte di Lautréamont
DIECI UNGHIE SECCHE INVECE DI CINQUE
a cura di Carmine Mangone
Giunti Editore - 2005
192 pp., 28 ill., euro 12

On peut télécharger la préface ici.
mangone.carmine@gmail.com

Faire entendre Maldoror


Un appel de Sonja Elen Kisa aux bénévoles pour contribuer à une intéressante entreprise:

«Chers ducassophiles, Nous entreprenons le projet de la lecture audio des Chants de Maldoror dans le domaine public. Peut-être que vous connaissez quelqu'un qui aimerait se porter bénévole pour lire une strophe ou deux!
SVP faites circuler auprès de vos contacts et réseaux ducassophiles!»

Lermontov, le Tigre-qui-rugit



La dernière livraison des Cahiers d'Occitanie apporte comme d'habitude des notes pleines d'intérêt sur Ducasse et ses lectures. Jean-Pierre Crystal relate sa découverte, grâce à une correspondante d'origine russe, de ce qui peut expliquer l'étrange «Tigre-qui-rugit» (le tigre feule mais ne rugit pas) de Ducasse. La clé en réside sans doute dans la traduction en vers du poème Le Démon, oeuvre de Lermontov, par P. Pélan d'Angers, où l'on trouve en effet cette impropriété (Dentu, 1858). Alain Selle-Lapierre signale de son côté une lecture probable par Ducasse d'un ouvrage de Félix-Archimède Pouchet, L'Univers, les infiniment grands et les infiniment petits (1865): comme dans les Chants, le fulgore porte-lanterne y figure en effet au féminin et non au masculin comme il est de règle. Un article sur ce sujet est annoncé à paraître dans les Cahiers Lautréamont.