« En page 5 du Figaro du 28 janvier 1891, dans la Revue bibliographique tenue par Philippe
Gille, entre le compte rendu d’une biographie du collectionneur Eugène Piot par
Edmond Bonnaffé, parue chez E. Charavay, et celui d’une comédie en quatre
actes, Les Étapes de Gutenberg, de
Louis Leriche, chez l’éditeur
Chavannac, on lit une critique des Chants
de Maldoror, réédités l’année précédente par Léon Genonceaux.»